Chardavoine, Jehan (ca 1537-ca 1580-fr)
Posté : lun. juil. 13, 2015 10:11 am
Biographie wiki :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jehan_Chardavoine
Jehan Chardavoine (né v. 1537 à Beaufort, en Anjou et mort v. 1580 à Paris) est un compositeur français de la Renaissance et l'un des premiers éditeurs connus de chansons populaires, auteur, comme le souligne le musicologue Julien Tiersot de « l'unique volume de chansons monodiques qui nous soit venu du XVIe siècle.
Jehan Chardavoine ne peut être considéré comme poète, n'étant pas le « parolier » des chansons dont il s'est contenté de noter les airs. C'est comme musicien que son nom est retenu. Il a parfois réutilisé des airs « anciens », qu'il a mis au goût du jour, les adaptant sur des poèmes de poètes de son époque, tels que Clément Marot, Mellin de Saint-Gelais, Jean-Antoine de Baïf, Pierre de Ronsard ou Joachim du Bellay.
Parmi les poèmes qu'il a mis en musique et publiés dans son anthologie se trouvent le célèbre Mignonne allons voir si la rose et Ma petite colombelle de Ronsard, Si vous regardez madame de Du Bellay ou encore Longtemps y a que je vis en espoir de Marot. Certains de ces airs ont ensuite été réutilisés par des polyphonistes, comme Une jeune fillette, repris par Clément Janequin, qui fut peut-être son élève, dans Il estoi une fillette.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jehan_Chardavoine
Jehan Chardavoine (né v. 1537 à Beaufort, en Anjou et mort v. 1580 à Paris) est un compositeur français de la Renaissance et l'un des premiers éditeurs connus de chansons populaires, auteur, comme le souligne le musicologue Julien Tiersot de « l'unique volume de chansons monodiques qui nous soit venu du XVIe siècle.
- Biographie
Jehan Chardavoine ne peut être considéré comme poète, n'étant pas le « parolier » des chansons dont il s'est contenté de noter les airs. C'est comme musicien que son nom est retenu. Il a parfois réutilisé des airs « anciens », qu'il a mis au goût du jour, les adaptant sur des poèmes de poètes de son époque, tels que Clément Marot, Mellin de Saint-Gelais, Jean-Antoine de Baïf, Pierre de Ronsard ou Joachim du Bellay.
Parmi les poèmes qu'il a mis en musique et publiés dans son anthologie se trouvent le célèbre Mignonne allons voir si la rose et Ma petite colombelle de Ronsard, Si vous regardez madame de Du Bellay ou encore Longtemps y a que je vis en espoir de Marot. Certains de ces airs ont ensuite été réutilisés par des polyphonistes, comme Une jeune fillette, repris par Clément Janequin, qui fut peut-être son élève, dans Il estoi une fillette.
- Œuvres