Weidt, Albert John - Dance of the Moths

[Edgar Blanc]

Bonjour tout le monde,

Le Weidt nouveau est arrivé et je crois que c'est un cru tout à fait honorable. Il s'agit ici d'un caprice.

[Marieh]

Ah super !

Mon oreille (la droite, la gauche est un peu faible) a tiqué au alentour des harmoniques, juste après l'accord de La majeur, y a comme qui dirait une ou deux fausses notes... mais je peux me tromper.

[Edgar Blanc]

Mon oreille (la droite, la gauche est un peu faible) a tiqué au alentour des harmoniques, juste après l'accord de La majeur, y a comme qui dirait une ou deux fausses notes... mais je peux me tromper.

Attends, je vais voir ça.

[Edgar Blanc]

Je ne crois pas mais je peux me tromper. Mais ce n'est pas impossible non plus, si tu parviens à cerner les notes incriminées je verrai bien.

(peut-être que je joue des notes non écrites mais que mon oreille s'est habituée à force)

[Marieh]

si tu parviens à cerner les notes incriminées

Moi, j'entends Fa bécarre, pas vous ?

Weidt.jpg

Sinon, c'est une affaire de goût bien sûr, jouer la pièce sans liaison, je trouve que cela sonne mieux.

[Edgar Blanc]

Moi, j'entends Fa bécarre, pas vous ?

Bien vu ! Si si, je joue bien un Fa bécarre. Et ce n'est pas un accident, j'ai toujours joué un Fa bécarre ici, je ne sais pas pourquoi. On s'y fait. Mais c'est une grossière erreur de ma part.

Sinon, c'est une affaire de goût bien sûr, jouer la pièce sans liaison, je trouve que cela sonne mieux.

C'est possible, avant je la jouais comme ça, sans liaisons. Aujourd'hui si je joue avec les liaisons c'est juste que c'est plus facile, ça limite la prise de risque. Enfin, ça limite la prise de risque... si on veut. Ça la limite d'un côté mais les accentue de l'autre, et c'est ainsi que je me ferais presque rouspéter céans...

Bon, je dis ça juste pour m'amuser de ces liaisons dangereuses, Marie de Merteuil.